avril 20

Titre peu vendeur, je le conçois.

3  comments

Merci

Titre peu vendeur, je le conçois. Sur cet article je ne cherche pas à communiquer avec tout le monde, mais ceux et celles qui s’intéressent également au blogueur que je suis. Donc, écriture simple, directe.

À l’heure d’internet tout puissant, du contenu créé en masse, recopié, paraphrasé, dupliqué, copié/collé, il est plus qu’important de s’ouvrir aux internautes. Et il y a des risques, comme partout.

Mais pour qu’une identification puisse se faire, qu’un lien puisse se créer, il est primordial de parler de soi, pour que les gens puissent trouver des prises, des atomes crochus, et autres points communs.

Tant pis si cela ne plait pas.

Je voulais vous remercier. Vous remercier d’échanger et partager avec moi. Je voulais vous remercier pour l’intérêt que vous portez à mon blogue. J’en discutais avec des amis hier, autour d’une bière. Ce n’est pas un blog « top 10 des trucs les plus drôles (et dangereux) à faire à sa sœur qui conduit ». Vous savez, ce genre de blog qui distrait au possible des consciences qui pourraient s’élever. Ces consciences qui ont du potentiel.

Le monde a plus que besoin de leaders qui disposent d’une conscience élevée du contexte. Des personnes qui acceptent les responsabilités et qui savent qu’il est important de devenir les meneurs de demain. Pas des leaders égocentriques, mais des leaders qui créent d’autres leaders. Des leaders imparfaits et donc inspirants. Des leaders qui prennent ce choix aujourd’hui, et qui n’attendent pas d’être le meilleur.

Car le monde régresse. C’est mon avis.

Les gens veulent jouir au plus vite avant de mourir, et peu importe si c’est fait dans le respect de l’autre. JE NAIS, JE PROFITE AU MAX, et au diable mes descendants, l’environnement et mon entourage. Le bonheur est un mirage. Qui cesse de s’éloigner lorsque l’on vit avec cet état d’esprit. Il y a 2 manières d’être riche: 1) Avoir beaucoup d’argent (à vous de définir le beaucoup) 2) apprendre à se satisfaire de ce que l’on a (notez bien la présence du verbe « apprendre »).

Pour ceux qui ne m’ont jamais lu, et qui tombent sur cet article en premier, faites un tour sur cet article-là, ou encore celui-ci. Je ne suis pas un érudit qui me bat contre la société. Je pense même être plutôt bien intégré. J’ai juste une curiosité qui me pousse à creuser plus loin que le « 20 minutes, ou le Figaro ».

En ce jour du 20 avril 2014, je pense qu’il est important de trouver du sens à la question : qui suis-je ? Et pourquoi suis-je sur Terre ?

2 questions qui peuvent partir à des années-lumière de ce que j’ai pu apprendre dans les écoles de management et leadership. C’est voulu, le gouvernement ne va quand même pas créer des leaders trop efficaces. Ce serait dangereux pour la stabilité. Et de plus, les professeurs eux-mêmes ne pourraient pas répondre à cette question. 😉

Ce ne sont pas des questions évidentes. Ce ne sont pas des réponses rapides. Cela demande de gratter des endroits douloureux. Ou inconnus. Soyez patients, je gratte encore.

Si vous êtes ici, c’est à mon avis que vous faites partie des gens qui ne sont pas lobotomisés par les anges de la TV, Koh-lanta et toutes ces merdes d’ « émissions ».

Et je trouve ça plutôt bon. Et tous vos commentaires, vos encouragements, vos questions, vos « inputs » me poussent à continuer (entre nous, je continuerais quand même, mais c’est plus motivant ). Vous n’êtes pas nombreux à arriver chaque jour sur mon blog.

Les gens intelligents et responsables se font rares.

Sincèrement, quelques dizaines de personnes me lisent quotidiennement. On est loin des milliers de visiteurs qu’un site peut avoir par jour, et cela me convient très bien.
Mais un choix me crispe. Je suis tiraillé entre le fait de faire dans la qualité pour peu de gens, ou faire de mon mieux avec beaucoup de personnes. Parce que répondre personnellement aux questions, aux commentaires, j’adore ça, et cela me prend du temps.

Je suis tiraillé entre le fait de rester « petit » et spécifique, ou devenir plus grand et plus large. Bref, je ne suis ni le premier ni le dernier à me poser cette question.

Dans tous les cas, merci d’être ici, merci de me suivre. Continuez, car chaque conscience compte.

Pour pouvoir diriger des équipes, devenir un leader, il est important avant tout d’être conscient de soi et de « driver » sa vie. En conduisant votre vie, là où vous le souhaitez, pour vous et personnes d’autres, sans vous coupez du monde, l’impact que vous aurez sur les gens sera énorme. Il ne sera pas forcément voyant, mais il sera là. Vous passerez du stade « je dis dit choses qui déclenchent des actions »
au stade «je suis un déclencheur silencieux et calme ». C’est mon avis.

Maintenant, je vais vous dire ce qu’il va se passer les prochains mois.

Naturellement, je ne peux pas tout dévoiler. J’écris, par choix, avec mon vrai nom (que je devrais peut-être cacher pour des raisons systémiques dans un futur proche), je dois donc rester discret sur certaines parties de ma vie.

Dans les grandes lignes :

  1. Le 28 avril, je pars 1 mois suivre une école pratique et immersive de conduite et d’organisation.
  2. Le 24 mai, a lieu à Lausanne une conférence sur l’intelligence sociale, que j’organise et qui durera une journée. 2 autres conférenciers viendront vous faire prendre conscience de cette magnifique forme d’intelligence. J’ai hâte.
  3. Début juin, une course d’obstacles de 22KM.
  4. Mi-Juin, je repars 2 semaines dans une école immersive de conduite. Journées qui commencent à 7h et qui se terminent à 23h. Sans compter les stages de nuit (comme le 28 avril). C’est ce que j’appelle une formation.
  5. Mi-août, identique. 2 semaines.
  6. Fin septembre aura lieu mon examen final pour le brevet fédéral de spécialiste de conduite de groupe (j’ai réussi mes 3 examens de mars).
  7. Fin octobre aura lieu l’examen oral qui me permettra d’obtenir ce brevet.
  8. Ensuite, dès que j’ai les résultats, je fais la promesse d’écrire un article sur ce genre de formations.
  9. Novembre 2014, Stage de survie en France, d’une semaine.
  10. Début 2015, gros mouvement dans ma vie, qui devrait m’amener à vivre dans un pays particulier et surtout à conduire dans un milieu un peu plus tendu (d’où mon stage de survie). Rien n’est signé, mais c’est bien avancé.
  11. Octobre 2015 : Retour en Suisse

Entre ces dates, je profiterai de la vie, en passant du temps avec mes amis, en découvrant de nouvelles personnes, en restant attentif au monde qui nous entoure.

Je le répète : j’ai omis certains points et je suis resté flou sur d’autres.
Mais retenez un seul élément de cet article:

ça va bouger.

C’est certain.

Bonne Pâques.

Julien

PS et de votre côté?


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  1. Je vois que tu viendras nous rendre visite si tu passe vers chez moi on pourra boire un coup ensemble et apprendre a nous connaitre sans cette artifice et je te laisserais survivre ;).
  2. Salut! J’aurais peu de temps. Où habites-tu? Et de quel artifice parles-tu? 😀
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