Dans les lignes qui suivent, je vous dévoile 4 techniques de communication pour réduire les résistances. Comment vais-je parler aux membres de mes équipes? Comment vais-je vous écrire à travers mes articles pour que vous évitiez de m’incendier à la fin de mon texte…?
Vous vous dites que c’est un truc de manipulateur? Vous êtes peut-être déçu? Mais laissez-moi vous expliquer et peut-être que vous aussi, vous réussirez à communiquer plus efficacement à l’écrit et l’oral. Ce qui va suivre n’a rien à voir avec ce que l’on apprend à l’école. D’ailleurs, si vous analysez mes textes, ils sont très loin de ce que l’école appelle un bon français.
Mon texte est composé des éléments abordés.
Communiquer en diminuant les résistances
Je reçois rarement des mails ou des commentaires de personnes qui me dégueulent dessus.
Dans mes équipes j’ai rarement une personne qui s’élève contre moi (car je règne avec mes muscles) et mes propos. Ils règnent un climat de discussion.
Au moment où j’écris ce billet, 1322 commentaires se trouvent sur mon blog. Peut-être 1% de ces commentaires constituent un message haineux débile.
Ce ratio n’a pas toujours été présent sur mes précédents blogs.
Qu’est-ce qui a changé? Quel est l’élément qui fait la différence entre l’avant et l’après?
Peut-être que cela vous intéresse de connaître ces techniques de communication. Peut-être que communiquer en diminuant les résistances peut s’avérer très utile dans certaines situations… Argumentaires, conférences, blogging. Le gros avantage c’est d’avoir des retours constructifs. C’est ce que j’ai constaté par ici.
Le plus gros changement que vous pouvez effectuer pour communiquer en diminuant les résistances est de stopper de voir le monde en noir et blanc.
Pas mal de blogueurs, coachs, experts (en général ceux qui débutent… oui on peut être un expert et débuter avec internet) cherchent à avoir raison. Ils cherchent à imposer leur manière de voir le monde à leur audience.
Pour y parvenir, ils décident de suivre une théorie, un modèle, une école et de rejeter le reste. Ils ne se placent pas dans la peau d’un expérimentateur qui peut avoir tort. Un expérimentateur qui pousse les gens à tester pour trouver ce qui fonctionne pour eux.
Car cela ne vend pas.
C’est un peu comme le marché du médicament: vendre un médicament qui rend le patient dépendant à sa consommation (et donc qui achète pour continuer d’aller bien…) mais surtout le garder chez nous.
Sur ce blog, Je vous propose différentes manières de gérer vos notes, de gérer vos équipes, de construire vos habitudes. Mais je vous propose aussi d’allez chercher ailleurs sur internet. De comparer avec ce que les autres proposent.
Cela ne veut pas dire que l’une de nos stratégies est meilleure que l’autre. Cela signifie simplement que vous êtes différents et qu’en tant que blogueur je ne peux pas écrire uniquement pour vous. Premièrement parce que je ne vous connais pas, deuxièmement parce que c’est une démarche en soi de proposer un « médicament théorique » à un individu.
Ma démarche n’est pas de vous proposer LE TRUC ultime, mais plutôt un état d’esprit. Si mon état d’esprit vous parle, bingo!
Cet état d’esprit est intéressant à emporter à peu près n’importe où: si on cherche à vous démonter, vous agissez comme de l’eau. Vous rentrez dans le débat avec la possibilité de devoir emprunter une autre direction que celle prévue. Pour vos opposants, c’est moins évident de se battre contre quelqu’un qui ne résiste pas, mais qui cherche à comprendre. Cela mène en général à des discussions plus censées et où l’on en ressort avec quelque chose.
1) En ce qui concerne la partie concrète de la communication et de ce qu’il faut faire.
Évitez d’utiliser des mots blanc/noir. Cet élément fait la différence. Si j’écris « je ne reçois jamais de mail haineux » vs « je reçois rarement des mails haineux » la différence est de taille.
Dans la première version, vous pouvez me faire mentir en m’écrivant « ton article c’est de la merde ».
Dans la deuxième version, vous pouvez uniquement me donner raison.
Je me demande d’où provient ce besoin d’être fixé sur les choses. L’école probablement. Si vous avez une idée, je suis preneur.
Vu que nous évoluons avec des gens aux comportements incertains, dans un monde incertain, entouré d’un univers incertain, utiliser des mots généralisant « blanc & noir » est vraiment casse-gueule.
Après, certains domaines comme les mathématiques font peut-être office d’exceptions. Mais je ne m’y connais pas trop là-dedans.
Un deuxième avantage d’utiliser du gris dans vos nuances de langage est le côté humble de votre communication.
« J’ai souvent réussi à atteindre mes objectifs » (ce qui implique que vous avez aussi échoué)
« J’ai parfois de la peine à me contrôler »
« En général je remplis les salles lorsque je donne une conférence »
L’idée est donc d’utiliser des adverbes et adjectifs qui vous protègent des généralisations. Car les généralisations peuvent facilement être démontées. Devenez un artiste et individualisez vos expériences.
2) Une autre technique de communication est de tourner vos affirmations invraisemblables en question…
« Vous vous êtes toujours demandé comment gagner du temps! »
Réponse possible: oui / non
Si la réponse est non, vous racontez des conneries et vous perdez votre lecteur/ interlocuteur. Pas du premier coup, mais à la longue c’est ce qui vous pend au bout du nez…
«Vous est-il déjà arrivé de vous demander comment gagner du temps? »
Oui / non
Si la réponse est non, vous ne racontez pas des conneries, vous vous intéressez à moi. Le côté intéressant des questions est qu’elles laissent libre l’interlocuteur. Vous pouvez diriger une conversation avec des questions.
De plus, cela vous permet de mieux comprendre le point de vue de votre interlocuteur.
3) Changer de forme lors des passages critiques où vous accusez.
Certains passages peuvent amener de la culpabilité. Je ne pense pas que la culpabilité soit la meilleure des solutions pour faire avancer les gens…
« En fait, vous savez très bien que vous n’y arriverez pas de cette manière, vous avez des problèmes à vous bouger le cul, vous préférez rester au lit ou larver devant vos séries Netflix »
Cherchez plutôt l’identification. Souvenez-vous, vous êtes un exemple qui admet ses erreurs. 😉
« Et je me suis rendu compte que je n’y arriverai pas de cette manière, j’ai de gros problèmes à me bouger le cul et je préfère vraiment rester au lit ou glander devant une série Netflix… peut-être que vous êtes aussi dans ce cas »
Dans cet exemple, je m’accuse. Dans cet exemple, je décris peut-être l’un de vos comportements, donc je pousse à l’identification. Important: ne mentez pas.
Il y a d’autres structures où cette règle ne s’applique pas, mais c’est de la vente.
4) Formuler les objections avant qu’elles arrivent…
Je ne vais pas me répéter, j’ai fait une vidéo où je vous dévoile comment désamorcer les objections (même avec une moustache) en formulant les pensées probables de votre interlocuteur avant qu’il ne les formule… Et vous avez eu un exemple en début de ce texte…
Le dernier élément est le libre choix et l’utilisation des bons verbes.
Oui, je donne parfois des ordres du style: faites ceci! Faites cela! Mais j’essaie de m’abstenir.
Voici deux exemples:
- Je vous invite/propose à tester 30 jours cette méthode
- Testez 30 jours cette méthode.
Ou aujourd’hui lorsque j’ai proposé à un pote de prolongé l’entraînement de sport…
- Je vais aller aux barres, veux-tu me rejoindre?
Il a décliné mon offre, mais j’ai en tête la relation long terme. Je propose et les gens peuvent venir ou pas.
Même dans un texte, le libre arbitre est très important. Et Lorsque je propose à un membre de mon équipe de discuter d’un comportement à améliorer, je lui propose. Je ne l’oblige pas.
C’est un gros changement à effectuer, mais les gens vont plus facilement vous suivre et accepter vos remarques si vous les laissez libres de le faire. Cela nécessite de votre part plus de doigté. Cela nécessite de votre part de voir sur le long terme.
Pas mal d’études ont été réalisées pour prouver ce que j’avance, il y a un bouquin intéressant qui se nomme » la soumission librement consentie… »
Merci pour votre attention.
Cool cet article, diminuer les résistances en s’éloignant au maximum d’un mode de pensée binaire.
En fait, j’avais évoqué avec plusieurs personnes ce sujet de l’affirmation, du « j’ai raison » et en fait apparemment dans plusieurs entreprises (et c’est sans doute plus répendu qu’on ne le pense) on demande aux salariés d’être sûrs, d’avoir de l’aplomb devant le client, il ne faut pas hésiter, dire qu’on va rechercher l’info non, c’est pas bien ! (c’est surtout tellement pas humain mais bon).
+ le fait que l’échec est vraiment le mal absolu, c’est polarisé échec/réussite dès l’école, donc si tu ne t’affirmes pas, est-ce que ça signifie que tu es en partie dans l’échec ?
On en avait parlé mais je le remarque, c’est une des choses que j’apprécie sur ton blog, le fait d’être force de propositions, surtout des propositions qui sortent de l’ordinaire/classique, en plus de ton côté « naturel », c’est-à-dire une façon de communiquer très personnelle.
« Cet état d’esprit est intéressant à emporter à peu près n’importe où: si on cherche à vous démonter, vous agissez comme de l’eau. Vous rentrez dans le débat avec la possibilité de devoir emprunter une autre direction que celle prévue. Pour vos opposants, c’est moins évident de se battre contre quelqu’un qui ne résiste pas, mais qui cherche à comprendre. »
Ouaip, encore que pour moi, ce n’est pas évident à appliquer selon mon état d’esprit tout ça, la réponse peut fuser vite des fois ^^.
Merci pour ces 4 clés de communication !
Parviens-tu à les utiliser au max dans la vie de tous les jours ou as-tu plus de difficultés que pour un article/vidéo ? (je me dis que quand on est en face d’une/des personnes, ça peut prendre plus de temps de trouver les mots si on n’est pas habitué).
Bonne soirée 😉
« donc si tu ne t’affirmes pas, est-ce que ça signifie que tu es en partie dans l’échec ? »
J’ai envie de répondre: cela dépend. Il y a des domaines où s’imposer est bien vu. Quand tu réussis à clouer le bec à quelqu’un, tu es vu comme plus intelligent, plus rapide, etc.
Politicien, avocats, etc.
Après, il y a l’aspect du comment qui est important: on est tous arrivé à un résultat souhaité en utilisant des moyens qui ne collaient pas avec nos principes. Et on est peu fier.
Pour ma part, je n’oppose pas de résistance au début, c’est ce que Milton Erickson nommait: Pacing and leading. Rejoindre l’autre dans son monde pour ensuite l’influencer.
Pour répondre à ta dernière question: oui en général je m’en sors quand je me dis à moi-même (avant la conversation) que je vais agir de telle ou telle manière.
Le problème vient: avec les proches et quelques sujets où je ne suis pas facilement dans le gris.
Ma fois, les convictions…
Merci pour ton message!
Le peu d’expérience en gestion d’équipe m’ont montré à quel point la collaboration et le style « démocratique » porte ces fruits. Attention tout de fois de garder en tête que certaines situations nécessitent de prendre des décisions rapidement sans forcément demander l’avis à ses collaborateurs.
Il faut s’en souvenir en tant que responsable, et l’équipe doit être au courant que cela peut arriver.
J’ai vu ton blog, ta page à propos, quel est ton parcours?
À bientôt.
« donc si tu ne t’affirmes pas, est-ce que ça signifie que tu es en partie dans l’échec ? »
En fait, je voulais dire par rapport à l’école et l’entreprise, c’est la question que les gens peuvent se poser. Et je suis d’accord, ça dépend. L’affirmation de soi est bonne je pense dans la mesure où elle se fait dans le respect de l’autre.
Effectivement, on n’est pas toujours super à l’aise avec l’attitude qu’on peut avoir parfois. L’important je pense c’est de s’en rendre compte, de se pardonner ET de s’efforcer d’agir mieux la prochaine fois dans une situation similaire. On n’est pas des robots, on n’est pas tout le temps dans le même état (physique, émotionnel) ni dans la même situation, ni face aux mêmes gens/attitudes.
Quand on est préparé à certaines choses en effet, ça aide pour rester focaliser… du moment qu’il n’y a pas de gros perturbateur qui vient se fiche là en plein milieu pour nous déstabiliser. En tous les cas, j’ai l’impression qu’une bonne communication demande plus de temps que le temps qu’on peut lui accorder généralement. Quel est ton avis/expérience là-dessus ? Est-ce que tu parviens à être satisfait de ta communication/comportement y compris dans des temps très courts (je veux dire, si tu as des choses qui seraient a priori « longues » à communiquer).
« Le problème vient: avec les proches et quelques sujets où je ne suis pas facilement dans le gris. »
Ah les proches… C’est face à eux qu’on se rend compte si on a vraiment pu évoluer positivement de façon profonde et sensible ou pas. On peut vite retomber dans des schémas + émotionnel (avec tout le passif). C’est peu évident d’être dans le gris pour tout, pour certaines choses, je ne suis pas non plus dans le gris.
En tous les cas comme le souligne Olivier, l’habitude et la prise de recul sont essentielles à mettre en œuvre.
Bonne fin de semaine !
Difficile d’imaginer tes quotidiens dans cet type d’environnement mais tu as dû beaucoup apprendre. Lorsque tu dis être au contact des équipes, est-ce que tu es leur responsable?
Le manager a un poste de frustration par défaut, sur le sujet, Alex Mucchielli en parle dans son ouvrage « Théorie systémique des communications » notamment lorsqu’il aborde les paradoxes du postes de chef.
Par rapport au blogging, je pourrais avoir la même réflexion que toi en me référant à d’autres blogueurs.Honnêtement, à l’heure actuelle il est important de toucher un petit public de qualité. TU as donc très bien fait de prendre le taureau par les cornes.
Merci pour ta présentation 🙂
À bientôt sur le blog.
Julien
C’est un peu le problème des penseurs: on se demande si notre attitude est appropriée. Parfois j’envie les gros bourrins (Parfois).
Pour répondre à ta question: je suis de plus en plus content de ma communication. Je pars du principe que si j’ai peu de temps pour communiquer, je vais alors écouter et ne pas communiquer. Si je dois le faire en peu de temps je précise que c’est ce que je pense, mon avis etc, (avec les bons communicants, tu n’as pas besoin de le faire puisque tu t’exprimes toujours en ton nom, etc… mais avec certains il faut le rappeler).
Et parfois, surtout quand je m’emballe, je dis des conneries, je reviens sur des raccourcis, etc. Mais c’est aussi là que je suis le plus convaincant à l’heure actuelle.
Et les proches, dans l’ensemble cela va très bien, mais c’est plus difficile.
Yes Olivier a l’expérience de ces situations 😀
A++
😉
(et, en allant l’extrémité, comme j’ai entendu il y a quelque jours dans une discutions, dans la rue)
« … c r e v e la bouche ouverte. »
(Les personnes disaient que c’était quelque chose à ne pas dire.)
Beaucoup de personnes mentent, certaines mentent pour mentir d’autre par diplomatie.
Le fait est que tu ne sais jamais ce que pense réellement la personne tu peux faire des suppositions en t’appuyant sur des states : la ou peux tplus part des personnes qui refuse a de nombreuses fois consécutive de faire quelque chose avec toi, ne vœux rien faire avec toi.
Mais tomber sur une personnes pas du tout festive et marié a son boulot.
J’ai connu plusieurs cas :
Une personne, Monsieur X, a qui on peut envoyer des tas de sms dans une année et auxquelles elle ne répond jamais.
Un jour Monsieur X, se réveille et propose carrément de faire quelque chose avec son contact puis ignore son contact de nouveau et ce réveille de nouveau un ans plus tard. Le cycle continue sans fin.
Personnellement depuis le temps que je la connais, je ne lui envoie jamais de sms et j’attends d’en recevoir pour voir si je vœux faire ce quel me propose.
Cette personne agis ainsi avec tout le monde même ça famille je l’avais remarqué quand je la fréquenté quotidiennement.
Une autre personne monsieur Y, que je ne fréquente plus aujourd’hui quotidiennement. Ne répond pas aux messages, puis un jours prend des nouvelles à ce moment là les personnes lui demandent dans la discutions si tout vas bien entre elles. Monsieur Y répond que oui, la discutions continue mais rien ne suis, ni activité, ni réponses aux sms suivants, le néants quoi.
Enfin Monsieurs Z, n’aiment pas beaucoup le contact avec les autres, il le dit elle même. Elle ne pratique aucune activité et sur le lieu de travail parle peu lors du repas et pas lors du travail. Je ne la fréquente plus quotidiennement non plus mais pendant le laps de temps ou c’était le cas j’ai peu construire un lien avec elle et depuis j’ai une relation classique d’échanges.
Pour conclure : des fois des personnes disent qu’elle t’apprécie mais leurs actes montre autres choses et des personnes ont une communication très maladroite mais agissent de manière bienveillante envers toi.
Ceci est un fait, ce qui est dur c’est de trouvé un équilibre entre s’ouvrir aux autres, réagir en fonction de ce qu’ils disent et comprendre ce qu’ils pensent réellement en fonction de leur acte et de comprendre leur situation ce qui permet de comprendre pourquoi ils agissent ainsi.
Ah ah oui moi aussi je me dis punaise y’en a qui ont de la chance de pas avoir l’air (on n’est jamais dans la tête de l’autre) de se prendre la tête pour tout un tas de truc.
Cela dit, je préfère réfléchir sur les choses, je trouve ça intéressant. Cool que tu sois de plus en plus satisfait de ta communication, tant mieux vu tout le travail/implication que tu mets dedans !
Merci pour ces précisions 🙂
@+
Parfois il faudrait pouvoir mettre le cerveau sur OFF.
😀
Merci… j’apprécie beaucoup le côté humain, authentique, relationnel que tu mets en avant comme technique de communication (promotion, vente etc… )… ça change effectivement de ce qu’on entend souvent et ça me parle beaucoup personnellement. Je cherchais des sources en vue d’un cours que je prépare sur l’écologie pour des travailleurs sociaux, une partie de se cours consistait justement à réfléchir à « comment faire passer un message écolo »… J’avais trouvé des info intéressantes sur les techniques de communication… Mais c’était des classiques : argumentaire, légitimité, structure du discours, langage non verbal etc… il me manquait quelque chose qui sonne moins « manipulation, persuasion rapport de force » et plus « communication, relation d’égal à égal… » et qui requiert effectivement une posture presque éthique, une recherche authentique de dialogue, d’ouverture à l’autre et donc de recul critique sur soi… Enfin, c’est comme ça que je perçois les technique que tu propose…bref… Merci, je laisserais le liens vers ton site aux étudiants à qui je donne cette formation
Surtout le premier point qui est un excellent rappel. Je trouve qu'il n'est pas facile de trouver le bon équilibre entre l'affirmation d'un côté et l'humilité de l'autre (aussi bien à l'oral qu'à l'écrit d'ailleurs).
Merci beaucoup 🙂