février 16

(Vidéo) Comment convaincre une personne qui s’est engagée ?

Dans les lignes qui suivent, je vous explique comment convaincre une personne qui s’est engagée. Comment la faire revenir sur ses choix? Cet article est lié à l’intelligence sociale. 

Voici POURQUOI une personne engagée est difficile à désengager!

Il faut bien comprendre, l’un de leviers sociaux les plus importants en terme d’influence est l’engagement. À cause ou grâce à l’engagement, nous nous automanipulons, nous poussons les gens à se comporter d’une telle manière, ceux-ci le savent, mais ne font rien pour changer.
Évidemment, il y a la notion de l’habitude, de confort et de stabilité qui rentre dans cette notion de changement. Cependant, ne vous est-il jamais arrivé de savoir pertinemment que vous étiez en train de faire faux, mais que vous ne vouliez pas changer votre action/comportement, pour conserver une certaine image de vous-même ?

Par exemple : Vous savez qu’il est important de réaliser des rapports journaliers propres et concis pour votre supérieur, mais parce que vous êtes un fervent fan de la loi 20/80 de Pareto, vous continuez à clamer haut et fort qu’il est inutile de perdre du temps pour de la paperasse.
En résumé, vous dites tout haut l’exact opposé de ce que vous pensez tout bas. Parce que vous voulez garder la face vis-à-vis de votre entourage.
Voilà la réponse au pourquoi.
Sachant cela, maintenant, vous allez apercevoir, de plus en plus, des gens qui agissent d’une manière qui n’est pas optimale pour une situation donnée, mais vous ne savez pas comment faire pour leur faire comprendre qu’il faut changer. Bienvenue dans le feed-back.

Comment faire pour désengager vos collaborateurs d’un comportement erroné ?

Petit rappel, un comportement est erroné à cause de l’environnement.

L’important pour aider une personne à se désengager est de lui montrer que si elle se comporte depuis X mois/années de cette manière, ce n’est pas parce qu’elle est stupide, mais parce que son environnement ne lui a pas fourni une information importante, une pièce manquante pour bien comprendre le contexte.

Concrètement, au lieu de dire : Justine, tu devrais plutôt faire comme ci, ou comme ça, parce que de cette manière tes supérieurs sauront comment faire, si un jour tu devais être absente.

Sous-entendu : tu es inapte, tu ne sais pas comment faire, etc.

Vous devriez agir de cette manière : Justine, la manière que tu fais pour travailler est exactement la même que celle que j’utilisais il y a 2 mois plus tôt. En fait ce que je n’avais pas compris, c’est qu’il me manquait une information pour bien comprendre la situation. Ce qu’il me manquait, pour comprendre que les rapports journaliers devaient être pris au sérieux, même si cela ne ramène pas directement du cash, c’est qu’ils permettent de transmettre une information à l’échelon supérieur, et qu’en cas d’absence de ta part, ils savent comment procéder.
Personne ne me l’avait dit, donc je me charge de te le dire.

OK OK, dit comme ça, Justine vous demandera si vous avez commencé un nouveau cours de gestion de communication ou du changement. Donc, marquez des pauses dans votre manière de parler, et souvenez-vous qu’il est tout autant important de travailler la forme (comment le message est-il délivré?) que le fond (les propos).

Quels sont les résultats attendus ?

En fait, à la longue, intégrer cette notion de désengagement dans vos propos (tu n’agissais pas correctement parce que tu ne pouvais pas savoir, à l’époque je faisais pareil) vous permettra d’acquérir une compétence très importante pour un leader opérationnel : la capacité d’émettre une critique/ un feed-back tout en conservant la relation de confiance que vous avez avec vos collaborateurs.

Et ce n’est pas une mince affaire, que de réaliser une critique qui ne soit pas blessante. Mais ceci ne touche plus uniquement la notion d’engagement. Passons.

En résumé, pour convaincre une personne…

Les gens s’engagent dans leurs comportements. On tendance à continuer même s’ils savent que ce n’est pas bénéfique pour eux. Pourquoi ? Parce que, en société, on est jugé sur notre fiabilité et notre cohérence. Parce que le connu (même s’il est négatif) fait moins peur que l’inconnu.

Comment faire pour désengager une personne ?
Expliquez-lui qu’elle ne pouvait pas faire juste parce qu’elle n’avait pour toutes les informations nécessaires. Expliquez-lui que vous auriez fait pareil.

Résultat : De beaux feed-back, avec un potentiel de changement optimisé, et une compétence particulière dans votre boite à outils : celle de pouvoir émettre une critique sans briser la relation de confiance que vous entretenez avec votre collaborateur.

À vous la parole

Que pensez-vous de la théorie de l’engagement ? Avez-vous déjà subi de mauvaises critiques de la part de votre supérieur?

PS cet article a pour but de vous offrir une meilleure compréhension de la théorie de l’engagement.
De plus, je fournis avec cet article un outil qui vous permettra de pousser les gens à changer, lorsque ceux-ci se sont engagés et continuent dans un comportement qui n’est pas optimal.
Cet article s’adresse aux leaders opérationnels avant tout, mais peut aisément être interprété dans d’autres contextes.

Sources : Petit traité de manipulation à l’usage des honnêtes gens de Robert-Vincent Joule et Jean-Léon Beauvois


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comment convaincre une personne de se désengager?, Comment convaincre une personne engagée


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  1. Merci pour l’article.
    Plus je lis ce blog, plus je me dis que la parole peut également être une arme fatale si elle est placée entre de mauvaises mains aha
    J’adore ton blog et tes articles m’ont beaucoup aidé à mieux m’exprimer. La diplomatie, et toutes ces facons d’attirer, persuader, ou même critiquer mais sans blesser, c’est vraiment important.
    Quand j’étais petite ma mère me rabâchais sans cesse des « tu devrais être » ,ou pire « tu dois être », et je remarque que dernièrement elle a changé, elle m’explique son expérience passée, et ça me blesse moins, en plus on s’entend mieux.
    Je viens de réaliser un truc, si on veut désengager quelqu’un qui est plus haut placé que nous (que ça soit dans l’echelle sociale ou dans une entreprise)c’est un peu plus délicat par contre. Je vais donner un mauvais exemple mais quand même : Je veux faire comprendre à mon frère qu’il doit prendre sa vie en main avant de tout perdre;
    – Je ne peux pas lui dire « tu devrais », parce que il ne m’écoutera pas vu qu’il pensera que je pense qu’il est incapable
    – Mais je ne peux pas utiliser l’autre technique parce que ça me donnerait un air orgueilleux de petite sœur qui dépasse son grand frère et il le prendrait mal non?
    Laura.
  2. Bonsoir Laura!

    Oui les mots peuvent devenir des lames dans certaines bouches ^^

    Merci pour ton commentaire!

    Pour te répondre, des techniques d’influences existent et certaines envoient du lourd! Par contre, ce que je peux te dire c’est que tout est contexte et les personnes qui s’engagent dans un comportement depuis longtemps sont difficiles à désengager. Cela demande du temps et du savoir faire.

    On peut en causer plus en détail si tu le souhaites.

    Ensuite un autre point, pour ma part j’ai cessé de vouloir changer les gens, de chercher à les faire aller là où je le souhaitais, parce que cela bouffe du temps et de l’énergie. J’ai plutôt effectué un travail sur moi en acceptant ces mêmes personnes.

    Qu’est-ce que cela change concrètement dans ma vie de tous les jours? Je parle moins. J’écoute les gens en me mettant à leur place. Je me fiche de savoir si ce qu’ils font est bien ou mal. C’est leur vie et je ne vais pas les aider.

    Sauf… sauf! si ces mêmes personnes viennent me le demander. Alors là, je vais m’investir et je donnerais beaucoup.

    Tu sais pourquoi j’agis de la sorte? Parce qu’une personne qui veut changer a déjà fait la moitié du travail.

    Donc maintenant les gens qui se plaignent de leur situation, je ne vais surtout pas aller dans leur sens en leur disant  » oui je comprends, mais tu sais, changer c’est facile, il te suffit de faire des petits pas, etc »

    NON, changer c’est dur. Très dur. Cela demande du temps, de l’énergie, et les mauvaises habitudes ne connaissent pas l’ascenseur, elles connaissent uniquement les escaliers. Marches après marches.

    Bref, je me suis détourné du sujet initial, mais je me suis enflammé sur un sujet très intéressant: comment influencer les gens.

    ;_)

  3. Bonsoir,

    Je trouve que c’est fort de pouvoir accepter les autres en prenant sur soi. Est ce que ça veut dire que selon la personne à qui tu parles, tu vas prendre sur toi pour t’adapter à cette personne et donc te changer toi? Ou est ce que cela veut dire que tu vas prendre sur toi pour accepter la personne telle qu’elle est tout en restant toi même, au risque de déplaire à cette personne? C’est sûr qu’on ne peut pas plaire à tout le monde mais ce blog traite de comment convaincre d’autres personnes, et convaincre une personne c’est lui plaire aussi, dans un sens?

    Quand tu dis que tu « écoutes les gens » et que tu te met à leurs place, et qu’ensuite tu dis que tu te fiches de savoir si ce qu’il font est bien ou mal, que c’est leurs vie.. ça me semble un peu contradictoire parce que on ne peut pas écouter quelqu’un sans juger cette personne et vouloir l’influencer dans ce qui nous semble bien ou mal. Au fond, c’est comme si tu n’écoutais pas cette personne puisque tu t’en fiches. Enfin peut-être que j’ai mal compris ce que tu voulais dire.

    Tu ne veux pas changer les personnes qui ne souhaitent pas le changement mais dans le cas de quelqu’un qui va à la dérive, peut-être qu’il a choisi cette dérive mais ça ne veut pas dire qu’il faut laisser cette personne se détruire.
    Dans un sens je suis d’accord, ça ne sert à rien de vouloir changer quelqu’un qui ne veut pas changer mais en même temps je me dis que des fois il y a des personnes qu’il faut changer, et ce même si elles ne le souhaitent pas.
    Si mon meilleur ami devenais un Hitler 2.0 je ne le laisserais pas faire et je ferais tout pour le changer. Même si ça me prend du temps et de l’énergie, pour le bien de cette personne et pour mon bien à moi (c’est égoïste, j’assume 😛 )j’essaierais de changer cette personne parce que je ne veux pas perdre mon meilleur ami.

    En fait, je ne suis pas sûre d’avoir bien compris ton opinion et je suis un peu maladroite dans ce que je dis, en résumé je pense que le choix d’influencer une personne dépend de la personne même « à influencer ».

    Laura

  4. Je pense que si l’ami voulait vraiment devenir Hitler 2, il le deviendra. Et je me désengagerais.

    Ton article est intéressant dans un sense ou souvent les gens parlent d’égo à égo. Je me fais pour règle de toujours cibler les choses et les actions spécifiques (c.a.d à ce moment précis). Par exemple, au lieu de viser la personne directement, je dirais plutôt que ce serait juste de faire la chose autrement. Ou « dans ce cas précis, t’as foiré, mais… c’est pas bien grave. Fais mieux la prochaine fois ».

    C’est aussi beaucoup plus simple de viser les « idées » ou les choses que les personnes. Personnellement, souvent, je laisse faire. Ca ne sert à rien d’interférer. Personne va correspondre à personne à 100% et, ce serait pas un monde très intéressant.

    Dernièrement, je pense énormément à un groupe qui partage la même « idéologie » ou le même but. Quand le groupe croit fermement en quelque chose, il y a dissolution du toi et du moi et la formation du « nous ». Et dans le cadre du nous… ça devient beaucoup plus lâche. Ca m’arrive d’employer des vulgarités dans des meetings de bureau. Personne n’est vraiment contre parce que, au fond, c’est le but qui compte. Du coup, l’ambiance est moins « je pèse mes mots » mais « je dis ce que je pense pour faire avancer les choses ».

  5. Bonjour Laura!

    Je sens que la discussion va devenir très intéressante, car je ne sais pas exactement sur quoi ça part 😉

    Donc pour ton premier paragraphe, oui je vais rester moi-même au risque de déplaire à cette personne. Sauf que la vie est paradoxale et que rien n’est noir ou blanc. Je sais pour avoir étudier de mon côté des ouvrages sur l’influence qu’il existe des chemins pour « plaire » (qui ne fonctionnent pas toujours, mais quand même). Peut-être qu’actuellement je ne les utilise plus de manière consciente lorsque j’interagis avec mon entourage, ou alors j’ai pris confiance, bref, je me sens beaucoup moins dans l’influence qu’avant, pourtant les résultats ne sont pas moins pires! Comment ferais-je si je n’avais jamais étudier l’influence? No ideas. Je suis conscient que cette réponse est incomplète et qu’elle soulève d’autres questions.

    Pour ton paragraphe deux.
    Juger est humain, juste. Savoir que tu juges s’acquière et permet de t’en détacher. Après à toi de choisir de tenir compte de se jugement ou pas. De part leur nombre, il est difficile de traiter tous les jugements (genre: est-ce que je le prends en compte ou pas?) mais fondamentalement quand je parles à une personne, elle m’intéresse oui, son parcours la rend unique, mais si elle me dit qu’elle adore fumer, je ne vais commencer à lui donner des conseils pour arrêter, parce que j’ai arrêté de fumer. Après si Hitler 2.0 se profilait, je pense que j’agirais parce que mes valeurs me l’indique. Mes valeurs sont là pour délimiter une frontière. Une frontière qui me fait passer du mode observateur à l’action.

    Si ma nana se fait insulter, je vais pas rester en dehors du coup (quoi que, elle gère très bien les conflits, je devrais peut-être justement la regarder faire…et agir, si elle commence à empoigner la personne qui l’insulte 😉

    Ton troisième paragraphe, j’y ai déjà répondu en partie! Juste rajouter qu’en fait, si la personne ne veut pas changer, c’est que le contexte ne l’a pas encore pousser à le faire. En soi tu fais partie du contexte, mais je pense que les gens doivent faire un chemin interne pour changer, c’est personnel et sur cela je suis assez pointilleux.
    En essayant de changer les gens en les devançant, les probabilités existent pour que le résultat soit pire que ne faisant rien. À toi de savoir si tu acceptes cela.

    Pour terminer, je pense que tu comprends mon opinion à travers les mots que j’utilise 😀 Ça va en faire rire certains, mais le sens des mots provient des gens eux-mêmes, donc à travers un blog c’est difficile de parler de sujet comme celui-ci (déjà que dans la réalité ça l’est). D’où mes articles relativement pragmatiques. Pour résumé, l’influence existe, mais je peux le faire en expliquant quelque chose à une personne qui me le demande (toi en ce moment dans nos commentaires) ou alors je peux utiliser des leviers sociaux pour pousser les gens à agir à leur insu.
    Dans ma version, en fait tu es libre de continuer d’échanger ou de modifier ton point de vue. Je me plante peut-être, etc.

    Après dans le cas de ton frère, je m’appuyerais sur les personnes avec qui tu t’entends bien et en qui il a une totale confiance. Faire passer ton message à travers eux.

    Aie, je viens de flinguer mon commentaire en une ligne?

    Paradoxe!

    Julien

    (PS les paradoxes sont partout, et les accepter est vraiment une belle expérience!)

  6. Salut Tom!

    Cool de te voir par ici!
    Je pense aussi qu’Hitler 1 à connu des gens qui voulaient l’arrêter, peut-être même sa mère (bon sa mère a essayé mais elle n’a pas réussi, sa conscience est ok), et pourtant on a vu le résultat, donc j’accepte la réponse 😀
    Je rejoins ton point de sur 3 points:

    Premièrement, cibler les actions de la personne dans un contexte donné, fait passer la pilule beaucoup plus aisément et aide à communiquer!

    Deuxièmement, chercher à plaire ou convaincre pour qu’une personne soit comme je l’entends donne naissance à des discussions plutôt plates. Monde plat.

    Troisièmement, la cohésion dans un groupe permet de se lâcher, cela demande de la confiance en soi et des gens qui se trouvent dans le groupe. Par contre, dans certains groupes certaines personnes se lâchent vite et d’autres n’arrivent pas à atteindre se point « d’aisance ». Je me demande si ceux-ci sont freinés par notre enthousiasme… 😀

    Bonne journée!

  7. Bonsoir,

    En fait, je viens de changer totalement d’avis. Mais j’suis quelqu’un de très indécis, ou très paradoxal comme tout le monde en fait mais je suis vraiment un cas extrême, je pense que ça ne sert à rien de vouloir changer quelqu’un.

    Hier soir, j’étais avec une amie qui allait plutôt mal, et la raison pour laquelle elle allait mal, c’était elle-même, c’était la personne qu’elle était devenue et le fait qu’elle avait accepter un changement qu’elle ne voulait pas.
    Son copain était quelqu’un d’ultra ultra possessif (et jaloux), et il l’avait vraiment changé à un point que elle ne voulait plus être elle-même, il avait réussi à influencer sa façon d’être, et elle avait changé toute sa personnalité pour lui plaire. Il insistait sur la façon dont elle devait être habillé, la façon dont elle devait parler à certaines personnes et pas d’autres (il avait même voulu qu’elle coupe les liens avec ses amis gays.. alors que il y’avait pas raison d’être jaloux ça me parait évident), et il avait aussi voulu changer son caractère. Du coup elle était devenue la parfaite femme au foyer qui accepte gentillement les changements qu’on lui propose, sauf que voilà, elle était plus elle-même et quand ils se sont séparés, elle était encore plus mal parce qu’elle le détestait pas juste pour le fait qu’ils soient plus ensemble, mais le fait que elle ne soit plus elle-même.
    Ça m’a fait comprendre que on peut pas toujours changer quelqu’un, il faut vraiment que ça vienne de la personne sinon ça n’a aucun sens et la personne va souffrir, c’est égoïste de vouloir changer quelqu’un, et parfois on veut changer quelqu’un pour son bien mais des fois ça se retourne contre la personne..

    Je pense qu’on ne peut pas plaire à tout le monde, et chercher à plaire à tout le monde ça ne sert à rien puisqu’on devient totalement hypocrite. Les hypocrites doivent se sentir bien seul parce que toutes les personnes qu’ils ont autour d’eux ne sont pas des vrais amis, un hypocrite qui change sa personnalité pour plaire au autres et avoir le plus d’amis mais au fond il est toujours seul (ça part un peu dans la philo là donc je vais peut-être me calmer :P). J’ai été une faux-cul pendant une période de ma vie parce que je voulais être entourée de plein de gens, mais au final je me retrouvais seule parce que ces amitiés étaient aussi superficielles que quelques likes sur facebook aha

    Breeef, j’ai écris un pavé tout ça pour dire que je suis d’accord avec vous deux tout compte fait, je ne vais plus essayer de changer des personnes si ces personnes n’en n’ont pas envie. Bon après ça dépend quand même, il y a des cas où il faut agir, mais on peut agir sans forcément avoir recours au lavage de cerveau comme a pu l’expérimenter mon amie. En fait c’est vraiment compliqué et paradoxal donc tout dépend de la personne et la situation.

    Laura

  8. C’est bien de pouvoir changer d’avis, cela montre que l’on est moins soumis à la pression sociale, ou alors à son propre engagement.

    On peut également se poser la question inverse et se mettre à la place de ton frangin: à partir de quand dois-je prendre en compte les avis des gens? Quand dois-je commencer à changer?

    Lorsqu’une personne me le demande? (comme ton amie) ou plus? Mais combien? Qui?

  9. Le concept est super intéressant et je vais le tester 🙂 Merci pour le partage et les explications très claires, tant par écrit que dans la vidéo !
  10. Salut Thomas!
    Content que cela te parle, oui à tester, et voir si les résultats sont convaincants 😉

    A+

  11. Hello juju.
    Quand tu dit « Donc, marquez des pauses dans votre manière de parler »
    On peut faire des apartés ? J’avoue que c’est quelque chose que je fais assez souvent. Cependant je me dit que c’est moins efficace.
  12. Salut Kakashi2.

    Les apartés signifient que tu t’adresses à la personne à qui tu parles sans que les autres entendent? Écoute, je n’aime pas trop dire à quelqu’un fait ci et fait pas ça. Sur le blog évidemment je dis ce que je fais. Libre à chacun de faire ce qui lui plait.

    Test, essaie. Amuse toi. Tu verras bien ce qui fonctionne ou pas 😉

  13. Oui en fait j’ai fais une erreur :). Je ne voulais pas dire aparté mais parenthèse (parler d’autre chose pour revenir après au sujet). Je le fais tellement naturellement que je ne sais même pas l’effet que cela produit.
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