mai 8

Maîtrisez Vos Idées Noires – 6 étapes logiques (mais peu connues)

Ici, tout de suite, découvrez comment gérer votre stress en canalisant vos idées noires. Vos pensées anxieuses. Vos sentiments désagréables. Rien que ça.

Précédemment, vous avez découvert que la paix intérieure est un état neurologique qui se créer. Vous avez découvert que le 83% des gens stressés savent le mal que cela leur fait, mais ne font rien pour changer. Vous, vous ne faites pas partie de cette catégorie. Vous, vous reprenez en main.

Vous avez appris que le stress pouvait se combattre en décidant de « remodeler » la structure de votre cerveau ( aussi dingue que cela puisse paraître) pour atteindre un état de paix. C’est aussi dans cet état de paix que votre cerveau fonctionne le mieux (car libérer des toxines générées par le stress).

Vous avez également appris que le stress est le résultat de la peur

[thrive_text_block color= »blue » headline= » »]Le stress est quelque chose qui se passe en vous, mais ce n’est pas vous.[/thrive_text_block]

J’adore la métaphore du ciel. Le ciel est bleu. Toujours. Parfois il y a des orages, des nuages, du vent. Mais il reste bleu. Les orages passent. Tel le stress.

La validité de cette théorie (le stress est en vous, mais ce n’est pas vous) prend tout son sens lorsque l’on peut l’expérimenter. Si vous êtes encore sceptique, à ce stade, c’est normal. Je l’étais aussi.

Partons du principe que le calme intérieur est une compétence qui s’apprend.
Commençons avec le premier exercice…

Exercice N°1 – Prenez une feuille

Cette feuille vous sera utile pour l’exercice suivant… Inscrivez 10 à 12 qualités que vous identifiez aux moments où vous vous sentez parfaitement bien avec ce que vous faites. Motivé. Débarrassé d’idées noires. Au top niveau de votre jeu. Dans cette zone fluide, intéressante, ni trop facile, ni trop difficile. Faites-le maintenant, avant de continuer. Prenez le temps. Le temps de vous replonger dans chacune des situations durant laquelle, vous avez ressenti ces qualités.

Maintenant, regardez la liste que Don Joseph Goewey (propose dans son ouvrage The End of Stress. Ces qualités sont celles qui reviennent le plus souvent lorsqu’il demande aux participants de ses séminaires de définir leur FLOW. Regardez la liste et comparez-la à la vôtre.

[thrive_toggles_group »][thrive_toggles title= »Qualités du calme intérieur (cliquez pour voir) » no= »1/1″]

[one_half_first]

  • Créatif
  • Énergique
  • Engagé
  • Confiant
  • Productif
  • Communicatif
  • Positif
  • Sans peur
  • Meilleure écoute
  • Ayant le choix
  • Meilleure écoute[/one_half_first][one_half_last]
  • Décidant
  • Stimulé
  • Calme
  • En paix
  • Connecté
  • Visionnaire
  • Passionné
  • Collaboratif
  • Impactant
  • Réfléchi
  • Sans peur[/one_half_last][/thrive_toggles][/thrive_toggles_group]

Ce qui revient souvent, c’est un sentiment de clarté mentale et de calme. De paix. D’ailleurs cette paix est la fondation de toutes les qualités que les gens citent, même s’ils en sont rarement conscients.

C’est l’exact opposé de la réponse type du stress: combattre, fuir ou rester paralysé. Tel un hérisson face aux phares d’une voiture.

Les hérissons gèrent mal leur stress
Les hérissons gèrent mal leur stress

À présent, je vous propose de sélectionner 3 qualités que vous souhaitez accentuer ces prochains jours. Le simple fait d’en être conscient vous permettra d’améliorer ces qualités. Petit à petit, vous comprenez l’importance de l’exercice numéro 1. Exercice qui vous fait commencer votre journée au calme en visualisant celle-ci.

Passez en revue la liste ci-dessus et inscrivez (dans votre journal ou alors là où vous commencez votre journée au calme) les 3 qualités que vous voulez développer. Si vous n’êtes pas sûr de votre décision, prenez un moment pour ressentir les points en visualisant un souvenir durant lequel vous possédiez cette qualité. Utilisez vos 5 sens.

Ces qualités créent votre état d’esprit. Votre attitude. Quoi qu’il arrive, vous pouvez prendre la décision (et on va ensemble entraîner cela) de réagir calmement. Tel un Smoke Jumper face à une armée de flammes dévastant des hectares de forêt.

Pour notre culture générale, un smoke jumper est un pompier que l’on parachute lors d’immense feu de forêt. Leur mission? Créer un contre-feu. Pour cela ils sont nombreux, ils ont des tronçonneuses, une couverture anti feu et une pelle au cas où il se retrouve encerclé par le feu. Ce qui arrive apparemment souvent.

Idées noires et smoke jumper ne font pas bon ménage

Je l’ai cité dans un article précédent: 3 personnes sur 4 sont stressées au moins une fois par semaine. Et un tiers d’entre elles le sont de manière extrême chaque jour. Un cerveau sous stress est incapable de vous maintenir au top de votre jeu.

Abordons maintenant un élément qui m’a bouleversé:

[thrive_text_block color= »dark » headline= » »]Le stress se passe en vous, mais il n’est pas vous.(cliquez pour voir)[/thrive_text_block]

Toutes les idées noires qui vous traversent sont en vous, mais elles ne sont pas vous. Toutes vos émotions qui vous habitent ne sont pas vous. La preuve? Observez durant une journée votre état émotionnel et vos pensées. Regardez les va et-viens. Notez-les.

L’un des buts de la gestion du stress est 1) de réduire la différence entre les hauts et les bas 2) de réduire la quantité de mouvement 3) et d’améliorer votre humeur.

Difficile à croire?

Exercice N°2 Retournez la feuille

Et listez des éléments qui vous font penser au stress. À des situations stressantes. À des idées noires. Allez-y, notez. Restez à ce stade de la lecture jusqu’à avoir 10-12 points.

Maintenant, regardez cliquez sur le bandeau ci-dessous et découvrez la liste de ce que ne veulent pas subir les gens… Cette liste provient des participants des séminaires de Don Joseph Goewey.

[thrive_toggles_group »][thrive_toggles title= »Le stress comme nous le connaissons (cliquez pour voir) » no= »1/1″]

[one_half_first]

  • Déprimé
  • Bouchons de circulation
  • Sentiment d’être coinçé
  • Mon patron
  • Mon équipe
  • Découragé
  • Sentiment d’être vaincu
  • Longues réunions
  • Demandes de la famille
  • Peur de l’échec
  • To Do List
  • Anxiété[/one_half_first][one_half_last]
  • Confusion
  • Colère
  • Défensif
  • Trous de mémoire
  • Émotionnellement négatif
  • Troubles de la concentration
  • Renfermé
  • Perte de contrôle
  • Submergé
  • Perte du sommeil
  • Excès de nourriture
  • Excès d’alcool[/one_half_last][/thrive_toggles][/thrive_toggles_group]

À présent, je vous propose de vérifier si les mots sur la liste ci-dessus et leur attribuer un genre. Sont-ils de nature interne (votre état d’esprit) , externe (condition externe imposée) ou les deux par rapport à votre stress?

[thrive_toggles_group »][thrive_toggles title= »Interne, externe ou les deux? » no= »1/1″]

[one_half_first]

  • Déprimé (Interne)
  • Bouchons de circulation (Les 2)
  • Sentiment d’être coinçé (I)
  • Mon patron (Externe)
  • Mon équipe (E)
  • Découragé (I)
  • Sentiment d’être vaincu (I)
  • Longues réunions (E)
  • Demandes de la famille (2)
  • Peur de l’échec (I)
  • To Do List (2)
  • Anxiété (I)[/one_half_first][one_half_last]
  • Confusion (I)
  • Colère (I)
  • Défensif (I)
  • Trous de mémoire (I)
  • Émotionnellement négatif (I)
  • Troubles de la concentration (I)
  • Renfermé (I)
  • Perte de contrôle (I)
  • Submergé (I)
  • Perte du sommeil (I)
  • Excès de nourriture (I)
  • Excès d’alcool (I)[/one_half_last][/thrive_toggles][/thrive_toggles_group]

Amusez-vous à faire l’exercice pour votre liste personnelle également. Face à cette réalité, vous constaterez que beaucoup d’éléments sont de nature interne. Ils se passent en vous, OK, mais ils ne sont pas vous. Ce qui signifie que vous pouvez travailler sur votre état d’esprit plutôt que de continuer à faire plus de la même chose (par exemple, se tuer au travail en pensant que la charge diminuera… Ou vivre dans la peur…)

À propos de la peur, je parle d’une expérience surprenante qui souligne l’erreur que font la majorité des gens lorsqu’ils écoutent leurs peurs…

Mais revenons à l’état d’esprit.

La première étape (et vous avez déjà commencé) est de changer votre état d’esprit. Cela ne veut pas dire que perdre votre travail, être diagnostiqué d’un cancer ou perdre votre maison ne vous affectera plus. Non.

Là où vous allez vous améliorer et faire la différence, c’est dans votre réaction à ce stimulus externe.

Pour la petite histoire, Viktor Frankl (professeur de neurologie / psychiatrie ) a perdu sa famille entière dans les camps de concentration. Malgré cela, il organisa (dans le camp de Dachau) une unité de soin pour les prisonniers (avec ce qu’il avait) et une unité pour venir en aide aux personnes qui voulaient se suicider.

En traitant les gens dans ces conditions extrêmes, il découvre qu’un seul élément permet de prédire qui aura plus de chance de survire.

Cet élément c’est l’attitude.

Dans son ouvrage Man’s searching for meaning, Frankl écrit que nous avons toujours le choix. Il y a un espace entre ce qui nous arrive et notre réaction. La manière d’utiliser cet espace nous permet de travailler notre attitude.

Parfois, cet espace est une microseconde, parfois ce sont des jours (le temps de faire le deuil), mais nous avons toujours le choix, même face à des soldats SS.

La citation de Wiston Churchill est un exemple de son utilisation.

[thrive_text_block color= »blue » headline= » »]

Lady Astor : M. Churchill, si j’étais votre femme, je mettrais du poison dans votre café!
Churchill : Hé bien moi, si j’étais votre mari, je le boirais !

[/thrive_text_block]

Plus on apprend à utiliser cet espace et plus on prend du contrôle sur ce qui nous arrive.

En gardant le pouvoir sur ce choix, vous êtes capable de transformer une tragédie personnelle en triomphe. D’ailleurs, plus une chute est violente. Grave. Impressionnante. Plus la remontée sera inspirante pour les autres. C’est lorsque l’on se bat contre soi-même que les gens viennent vous aider. (Simon Sinek)

La prochaine fois qu’une grosse couille vous arrivera, respirez (je vous donne des exercices par la suite pour neutraliser rapidement les idées noires qui arrivent à ce moment précis) et dites-vous

«  Woaw, quelle occasion unique pour réaliser mon potentiel et transformer cette tragédie en triomphe ».

C’est dur. Cela s’apprend. Avec les exercices de cette série sur la gestion du stress. Rien que ça!

Je prends un exemple personnel. Lorsque les insomnies chroniques m’ont touché, une nuit, j’ai atteint le point où j’ai quitté mon lit et je suis allé me regarder dans la glace. Le premier truc que j’ai vu, ce sont mes cernes. Évidemment. Et ma gueule de déterré.

Les idées noires font naître le stress si elles ne sont pas correctement gérées.

Mais ensuite… je me suis demandé ce qui était pire: les pensées noires, stressantes qui me maintenaient éveillé ou les problèmes réels qui m’arrivaient?

En quelque sorte, j’ai réussi à reconnaître et réaliser que les choses iraient mieux pour moi si j’arrivais à calmer mon esprit  plutôt que de faire mon propre malheur. Combien de personnes créent elles-mêmes leur propre cage? En envisageant le pire dans le futur, elles créent le stress dans le présent, dans leur vie et ces problèmes envisagés deviennent réalité.

En croyant vos idées noires, vous libérez du stress dans le présent.

Ce stress diminue vos capacités et augmente le risque de voir vos pensées se produire. Pensez à un entretien d’embauche. Plus vous avez peur, et plus vous perdrez vos moyens. Plus vous perdez vos moyens, et plus vous avez de chance de voir vos peurs se réaliser.

T’es sympa Julien, mais comment faire pour inverser le cercle vicieux??

Le calme intérieur s’élève naturellement de la décision de ne plus être apeuré. C’est la décision d’utiliser notre cortex préfrontal plutôt que notre amygdale. Notre logique plutôt que notre émotion.

L’essayiste français Michel de Montaigne formule très bien ce que je souhaite vous transmettre, gardez cette citation à l’esprit:
« Ma vie a été remplie de terribles malheurs, qui pour la plupart ne se sont jamais produits ».

Il existe une enquête à propos des idées noires

Cette enquête a été réalisée à l’université de Cornell et détermine combien de nos peurs imaginées se produisent réellement. Elle m’a beaucoup apporté.

Dans cette étude, les participants devaient écrire leurs peurs sur une période de deux semaines. Et ensuite, identifier celles qui se sont réellement produites.

85% des sujets stressaient pour des événements qui ne se sont jamais réalisés. Sur le 15% restant, 79% des sujets ont très bien géré la situation. Mieux que prévu même.
Cette étude montre que nous n’avons aucun souci à nous faire pour le 97% de nos pensées.

La prescription est simple: il faut cesser de croire les idées noires qui viennent vous déranger. Dans la majorité des cas, elles ne concrétisent jamais.

Exercice bonus: écrivez vos peurs personnelles durant deux semaines. À la fin de ces deux semaines, posez-vous la question suivante: mes peurs se sont-elles produites? Si oui, est-ce que je les ai surmontées?


Ces chiffres montrent une seule chose: modifier notre réponse au stress, c’est un travail interne. Il n’y a pas de liens avec le monde externe.

À présent le deuxième outil pratique pour dompter vos idées noires.

Cet outil se nomme « Je peux voir de la paix plutôt que ceci ». Cet outil est clé.

  1. Soyez conscient, durant les journées qui passent, des événements et pensées stressants. Prenez l’habitude de vous observer, de prendre conscience de vos ressentis. Regardez d’un oeil non critique les situations provocatrices de stress. Observez tout ce qui peut vous stresser et vous mettre dans un état désagréable.
  2. Lorsque vous en prenez conscience (« Ah, voici une pensée noire ») , n’essayez pas de les changer. Observez-les simplement sans vous juger. Si vous vous critiquez (« Raah Julien, tu veux arrêter de stresser, mais regarde-toi paniquer »), considérez cette critique personnelle comme une nouvelle pensée à observer. Vous observez votre propre ciel, lorsqu’il y a des nuages, vous les décrivez, mais vous ne cherchez pas à les faire partir.
  3. Dites-vous à vous même: cette pensée ou sentiment est en moi, ce n’est pas la réalité. Ce n’est pas moi. Prenez un moment pour voir la vérité émerger de ceci. Laissez-vous couler dans cette nouvelle réalité.
  4. Ne croyez pas votre idée noire. Ne croyez pas votre sentiment désagréable. Souvenez-vous: comme les nuages ils vont, ils viennent, mais le ciel reste bleu. Si vous ne croyez pas une pensée stressante, elle n’a aucun pouvoir sur vous. Si vous ne croyez pas une pensée stressante, elle ne se transforme pas en stress.
  5. Répétez intérieurement: « je peux voir de la paix, plutôt que ceci ». Répétez cette idée calmement et regardez votre perception de la situation changer.
  6. Terminez en gardant à l’esprit que les pensées stressantes sont des nuages. Vous restez bleu. Tel le ciel.

Note: Cet exercice n’est pas facile à réaliser les premières fois. C’est normal. Pour vous aider, inscrivez les différentes étapes sur un post-it que vous gardez en vue. Effectuez cet exercice le plus souvent de fois possible. Au début, seuls les gros événements seront perçus comme des déclencheurs. Avec votre pratique régulière, vous arriverez de manière automatique et inconsciente à neutraliser les idées noires et pensées stressantes dès leurs apparitions.

Donc, restez motivé (e), même si au début vous ne voyez pas de résultat. Souvenez-vous de ce que disait Don Joseph Goewey: pas de résultat avant 4 semaines de pratique quotidienne.

Votre pratique cette semaine

1) Chaque matin, continuez à vous lever 15 minutes avant pour visualiser votre journée.
2) Visualiser les 3 qualités que vous souhaitez développer
3) Au fil des journées, utilisez votre nouvel outil « je peux voir de la paix plutôt que ceci »

Dans le prochain exercice, vous découvrirez un outil pour déconstruire étape par étape (sur papier) toutes les peurs qui sont encore présentes en vous. Vous découvrirez comment réduire l’influence qu’elles peuvent avoir sur vous. Cet exercice (comme celui que vous venez de découvrir, m’a beaucoup apporté). Mais je crois surtout que c’est la succession des différents exercices qui fait la force de ce programme sur la gestion du stress.

Pour découvrir la prochaine étape pour vous libérer du stress…

[thrive_link color=’green’ link=’https://www.leader-blogueur.com/comment-destresser/’ target=’_blank’ size=’medium’ align=’full’]Cliquez ici… [/thrive_link]

Julien Leader & Blogueur
Sources: The End of Stress de Don Joseph Goewey
(Si vous souhaitez les sources détaillées de certaines expériences, demandez-les moi ;))


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Idées noires et stress


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  1. je tente de me détendre face aux difficultés de la vie. Je vais essayer cette méthode et voir si ça marche. Merci pour ces conseils et à bientôt.
  2. Bonsoir !

    Merci pour votre retour! Oui il est important d’essayer les différentes méthodes. Surtout, d’être régulier dans sa pratique.

    Impatient d’avoir votre retour 🙂

    Julien

  3. Salut Julien, je viens de lire cette article, j’ai fais les éxos et je me suis rendu compte que ce que tu dis est vrai. Je vais faire ce qui est dis, c’est motivant de voir qu’on travail pour s’améliorer 🙂
  4. Merci!

    Oui, travailler pour s’améliorer est très motivant. Les premiers temps les résultats sont moins palpables que d’acheter ou faire de nouvelles choses. Mais à la longue, investir sur sa propre personne est l’un des meilleurs investissement qui puisse exister 🙂

    Julien

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